mercredi 16 janvier 2008

Une parisienne


En mars dernier, j'étais à Paris pour chercher une possibilité d'étudier. J'y suis venu du Japon. A ce moment-là, j'ai rencontré une femme qui a changé ma vie. J'ai visité un bureau d'un institut pour avoir un rendez-vous avec un prof, mais il n'était pas là. Parce que je n'avais aucune idée sur le système universitaire en France, j'ai essayé de le savoir en parlant tenacement avec cette secrétaire. Il me semblait qu'elle en avait assez de m'écouter, mais elle m'a donné une occasion d'assister à une conférence et m'a suggéré de laisser mon cv. C'était le moment qui a décidé mon destin, on dirait. Je suis maintenant au même endroit où elle travaillait après "the long and winding road". Mais elle l'a déjà quitté il y a quelques mois. J'ai perdu ma chance de lui dire merci.


2 commentaires:

  1. je n'avais pas aucune idée du système universitaire
    'Pas' est une négation, 'aucune' aussi et (-1) x (-1) = 1...
    Il faudrait mieux écrire:
    je n'avais aucune idée sur le système...

    tecacité est en fait tenacité ... et la tenacité est une vertu, tant qu'elle ne devient pas obstination.

    Il serait d'ailleurs interessant de faire une étude comparée sur la tenacité et l'obstination en France et au Japon

    Tout comme Napoléon disait qu'impossible n'est pas français, on pourrait dire qu' 'akirameru' (laisser tomber, abandonner) n'est pas japonais.

    Grandeur et faiblesse, tout à la fois ... Vaste sujet...

    RépondreSupprimer
  2. Merci encore une fois pour cette précision. La première erreur est l'erreur négligente. Quant à la tenacité, j'ai employé le mot "tenacement" pour "sans arrêt", "sans aucune considération", i.e. au sens negatif. Est-ce acceptable ?

    RépondreSupprimer