samedi 16 janvier 2010

Ilya Ehrenbourg, écrivain russe, apparut subitement



Il y a quelques jours, j'ai eu un rendez-vous avec mon ami que j'ai rencontré à Tokyo il y a environ 4 ans. Il a travaillé à Washington DC aux États-Unis pendant 2 ans et a visité ce temps-là Paris avant de partir au Corée du Sud. Quand nous sommes entrés dans une librairie, j'ai pris des photos sans aucun but, comme d'habitude. Et aujourd'hui j'ai trouvé cet écrivain russe dans un photo. Un moment heureux.

Ilya Ehrenbourg (27 janvier 1891 - 31 août 1967)

Encylopedia of Soviet Writers
Interview avec The Paris Review (1961)

J'ai apprécié la lecture de cette interview parce qu'il avait été très préoccupé de la relation entre l'art et la science.


Ilya Ehrehnbourg
Ce fut une découverte agréable
Un jour de pluie


jeudi 14 janvier 2010

J'ai trouvé Fernando Pessoa


Fernando Pessoa, un écrivain portugais

(13 juin 1888 - 30 novembre 1935)


Il y a deux jours, j'ai rencontré cette phrase dans Le livre des savoirs : Conversations avec les grands esprits de notre temps de Constantin von Barloewen.

 « Ce n'est pas le plaisir, ni la gloire, ni le pouvoir : la liberté, uniquement la liberté. »

La note indiquait qu'elle était un extrait de Le Livre de l'intranquilité de Fernando Pessoa. Et hier, j'ai acheté Lisbonne comme un "starter".


mercredi 6 janvier 2010

BONNE ANNÉE À TOUS !


J'espère que vous avez tous eu de bonnes vacances. Moi, j'ai passé le temps lire le livre japonais publié environ il y a trente ans sur la philosophie grecque et la vision du monde. L'auteur de cet oeuvre démontre que l'énergeia d'Aristote sera le clé pour la vie pleine de joie et de complétude. Parce que cette conception s'agit de la concentration sur le présent ; il n'y a pas de but extérieur mais l'action même constitue un but, donc tout le but est accompli en faisant quoi que vous fassiez. Je pense que cette attitude envers la vie nous donne un point de vue novateur.

Pour l'un des projets de cette année, je voudrais me pencher sur l'interface de l'intérieur et de l'extérieur, par exemple l'interface de notre corps, du moi, de la science, et du pays, et penser à la signification de la relation entre deux mondes. Pendant ces vacances, j'ai aussi commencé à traduire La Métaphysique d'Aristote, du français en japonais. Je ne sais pas comment ça se passera, mais cela devrais être un projet de cette année.

Je vous souhaite une année pleine de joie et de nouvelle découverte !