dimanche 30 novembre 2008

un week-end ou "Le Dit du Genj" de Murasaki Shikibu
















Cet après-midi de pluie, je suis sorti pour travailler. Mais, je suis descendu à St. Denis et ai passé quelques heures dans un café en lisant le roman le plus ancien "Genji monogatari" (Le Dit du Genji) de Murasaki Shikibu qui avait écrit il y a mille ans. La version que j'ai lu est celle de la traduction par Setōchi Jakuchō, écrivain contemporain et moine bouddhiste. Hier, une de mes amies qui aime Jakuchō m'a prêté ce livre. Pour aujourd'hui, je l'aimais beaucoup. Je me suis intéressé au son qui avait été dans la vie quotidienne de l'ère Heian, aux émotions profondes qui ont été trouvées en nous, aux attitudes parfois cruelles envers d'autres et la relation humaine compliquée dans une société impériale.

2 commentaires:

  1. Bonsoir. Le "Dit du Gengi" a été le premier livre que j'ai lu et qui a déterminé mon intérêt pour le Japon. Je l'ai lu par féminisme puisqu'écrit par une femme (il y a peu d'ouvrages féminins dans notre propre histoire surtout aussi lointaine). J'accompagnais ma lecture d'un ouvrage d'histoire sur l'ère Heian pour comprendre! Maintenant je connais mieux cette période. Et la passion est toujours aussi vive!!!
    Bon WE

    RépondreSupprimer
  2. Bonsoir,
    Honteusement, c'est la première fois que je lis ce roman, l'un des plus grands patrimoines japonais, peut-être. Je le trouve passionnant et génial. Je pense que l'impression que j'ai eu jusqu'ici dépend de la traduction moderne de Jakucho. Par ailleurs, il y a beaucoup de choses dans lesquelles je dois me plonger non seulement en France mais aussi au Japon. Mais la France d'abord, pour l'instant.

    RépondreSupprimer