vendredi 15 avril 2011

Les problèmes au cœur de l'énergie nucléaire


Irène Némirovsky

(24 février 1903 à Kiev - 17 août 1942 à Auschwitz)


Je n'avais pas envie de travailler aujourd'hui. Pas du tout. Cependant, à la fin de la journée, j'ai regardé les vidéos du débat autour de la question de l'énergie nucléaire. Il s'agit du programme télévisé japonais qui dure 3 heures environ. Tous les gens pour l'énergie nucléaire sont liés avec des compagnies électriques ou constructrices, donc parlent de la part des compagnies et, à ma surprise, du gouvernement. Une personne "pour" dit que l'accident n'est pas probable et que la technologie japonaise peut surmonter tous les problèmes y compris les séismes et les tsunamis. En revanche, les gens "contre" considèrent par eux-mêmes en ramassant tous les données concernées et expriment leurs préoccupations sérieuses d'accidents nucléaires. Là, je trouve le problème non seulement de l'esprit scientifique et critique mais aussi de l'éthique, comment agir dans une telle ou telle situation. Je suis étonné du fait que tous les éléments au cœur du problème nucléaire étaient dans ce débat il y a plus de vingt ans.

2 commentaires:

  1. Intéressant. Cela semble pareil,qu'en France. Dans tous les cas nous devrons vivre avec le nucléaire pendant longtemps, même si nous décidions (en France et au Japon) de ne plus nous en servir : il faudrait le temps pour trouver des énergies alternatives.

    Ou changer de façon de vivre ?

    La prévention des accidents et la recherche de d'autres énergies s'effectuera sans doute en concomitance.

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  2. Je suis d'accord avec vous en ce point qu'il faut chercher d'autres énergies et essayer de prévenir des accidents. Je suis aussi curieux de savoir si les Japonais peuvent changer leur manière de penser et leur style de vie après cette catastrophe. J'espère qu'ils vont les changer. Un point d'urgence, c'est d'arrêter la centrale qui est située tout au-dessus d'épicentre de séisme majeur qui est prévu. Si cette centrale était attaquée, le Japon deviendrait l'île inhabitable.

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